elle ne connaissait qu'une sourate Al Ikhlass

samedi 22 décembre 2012

Tombeau de Abdujabbar, un homme qui fut saint


Je vais vous parler d'un saint homme et de ce qui lui est arrivé. Il prie tous les fajr depuis plus de cinquante ans, il en a quatre vingt.dans la mosquée ci contre. 

Il ne lui reste même plus ses yeux pour pleurer. C'est le mari de ma tante, et il s'est même payer le luxe de me mettre à la porte de sa maison. Je continue à revenir chez lui, mais uniquement parce que nul ne peut m'enlever le droit de rendre visite à ma tante, quand bien même je mépriserai son mari et ses enfants. Je pardonne aux hommes âgés les erreurs que je ne pardonne pas aux autres. Allaahu yastahyi mina ashuyyuukhi.

Ce n'est pas une question d'argent. l'homme est un ancien cadre d'une entreprise publique d'état. Il doit avoir une belle retraite et un coffre fort ibrahimique dans sa chambre à coucher. et une bonne. les arabes disent qu'un homme qui a une bonne est un monarque. Mais cet homme m'a enseigné les rudiments de l'islam que je connais. La haine des idoles, les vertus de la prières; cet homme a aussi alimenté ma culture et mes rêves. Jeune je le considérai Wali allah. Je lui dois mon inisitation au soufisme et au mysticisme.
Bien sur, il a des défauts. Jeunes il était passionné de recherche de trésors, et entourés de Tolba et de Foqha. un mensonge usuel chez les walis qui prient. Certains de ses enfants sont devenus, un temps, millionnaires en dollar. Aux yeux de ma famille, il était tantôt un fou, tantôt un magicien. Je me souviens qu'il passait ses nuits à lire le Coran à voix haute dans sa chambre. jusqu'à il y a quelques années.

Du jour où il m'a mis à la porte, à l'exigence de ses fils et de son frère semble-t-il, j'étais chez lui depuis plus d'un mois sans payer mon écot, ses enfants ont considéré que j'étais devenu à charge et les privait de leur morceau de pain quotidien, je le regarde avec plus de tendresse. La vieillesse est un effondrement. et on n'est trahi que par les siens.

Quand vous vieillissez, vous n'êtes plus qu'une vache à traire.

Pourtant abdul jabbar l'avait dit à ses fils: Je prie depuis plus de 70 ans, je ne vous ai toujours recommandé que cela, vous n'avez rien à me reprocher. et de fait. Ils n'ont pas grand chose à lui reprocher. Pour lui rendre les honneurs qui lui sont dus, ils devraient au minimum l'accompagner à la mosquée quand il va prier. Il y va tout seul, comme un saint.

Les hommes sont mesquins par définition. Je ne saurai faire le procés de la nature humaine.

Ce qui me frappe avec abduljabbar, c'est qu'il en est arrivé au point où ses enfants ne veulent même plus le conseiller. Comme s'il avaient parié d'envoyer leur père en enfer.

Ces derniers temps je le vois un peu fatigué. Et je m'étonne. Je me dis avec tant d'années de prière, plus le hajj, les omra,  y compris à Jerusalem, pourquoi lui manque -t-il cette lumière que l'ont voit sur le visage des musulmans qui pratiquent le Isha"a et le fajr à la mosquée. Parce que j'ai du respect pour les gens qui respectent au moins leur créateur, je pardonne les offenses et cherche des solutions.

Tout d'un coup un soir, je réalise qu'il a un tableau de maître à la maison. je suis un homme immensément cultivé, je comprends aussitôt. J'invite son fils au café et je lui dis:  Ce tableau dans la maison de ton père il faut l'enlever. Il me dit que cela ne le concerne pas alors qu'il vit à ses crochets. Je lui dis, c'est ton père qui m'a enseigné ce hadith il y a des années. Quand il y a dans une maison un tableau représentant un vivant ou un chien, Gabriel n'entre pas. Ton père n'est musulman et protégé par sa foi que quand il sort de la maison. De retour chez lui il est sans défense et démunije te le dis, parce que je ne veux te laisser aucune chance avec ton dieu. Celui d'Abraham et d'isaac et d'Ismael. Son fils est un ami, c'est ma manière à moi de respecter mon sens de l'amitié. Je sais que les gens disent tu ne pries pas pourquoi donnes tu ces conseils, je réponds que ces conseils sont ma prière même.

je n'aime pas la trahison. Ma mère est morte, je suis revenu vivre avec mon père. De droit d'heritage entre autres. Je ne supportte pas de voir que mon père ne prie pas ou de ne pas voir mon père prier, mais je me libère pas pour autant de mon obligation de conseil à son égard. Mon ami, le fils de Abduljabbar s'en est libéré. Je ne suis pas d'accord avec lui. Chacun à la communauté qu'il mérite. Cet ami et donc cousin maternel, m'a dit, un hadith, tu seras traité par ton fils comme tu as traité ton père. je lui dis Thakulatka ummuk comment veux tu que ton fils te traite, s'il voit que tu refuses le moindre conseil à ton père?

Les hommes sont étranges. je croyais avoir affaire à des musulmans, à l'égard desquels je dois de la modestie, je découvre qu'ils sont hypocrites de jour et dorment chez eux la nuit. Je découvre aussi qu'ils se croient supérieurs à tout le monde, alors que pour l'homme cultivé que je suis ils ne sont que des incultes.  je le leur rends bien. Je m'impose à eux de droit, bi الشرع, par par amour. 


Quand je rentre chez eux je leur dis je viens voir ma tante, et je ne mange même pas en leur compagnie. C'est mon mépris que je manifeste ainsi. je ne mange pas avec le bétail par dignité d'humain. 

Toujours est il que j'insiste. Ce cousin m'a donné des leçons de foi, j'appelle sa tariqa  اإقامة صلاة    celle de la SINIYA et  Kass d'atay. elle est aussi pratiquée à el hajeb.

 Donc je lui donne occasionnellement quelques conseils. Je ne fais même que cela. même si je jette des perles aux pourceaux, Ce que Jesus a interdit, Mais que Moîse a autorisé en disant M3diratan ilaa Rbbikum; comme disent les juifs. si votre Dieu n'aime pas les conseils, le mien les adore. Addiinou Nassiha

Mais cela me fait mal au coeur de voir cela. J'ai des tableaux et des sculptures dans ma maison achetés par feu ma mère,. c'est interdit par la religion. Mais, mon père n'a pas la prétention d'aller cinq fois par jour à la mosquée. Qlors je n'ai donc rien à lui reprocher. Tandis que Abduljabbar avec cela dans la maison est un hypocrite. C'est donc ce que j'ai dit à mon cousin. Ton père est en état d'hypocrisie de fait, pourquoi ne l'aides tu pas ? Il suffit d'enlever ce tableau pour que lui revienne sa baraka. 

Son fils ne veut pas. Peut être considére-t-il qu'avec 70 ans de prière et 50 ans de Fajr sont père est un Mécréant, un kafir. Personnellement j'ai du mal à le croire, par respect pour le prophéte. Je ne vois pas ce que son fils qui n'a même pas cinquante ans a pu offrir en Qorban au seigneur qui soit supérieur à cinquante ans de fajr. 

Mon bon prince. Toujours ne m'envoyez que les hypocrites. J'ai pour eux l'amour que porte le miel aux composition chimiques et le nectar à la médecine chinoise. 

Je vais vous parler d'un saint homme et de ce qui lui est arrivé. Il prie tous les fajr depuis plus de cinquante ans, il en a quatre vingt. Il ne lui reste même plus ses yeux pour pleurer. C'est le mari de ma tante, et il s'est même payer le luxe de me mettre à la porte de sa maison. Je continue à revenir chez lui, mais uniquement parce que nul ne peut m'enlever le droit de rendre visite à ma tante, quand bien même je mépriserai son mari et ses enfants. Je pardonne aux hommes âgés les erreurs que je ne pardonne pas aux autres. Allaahu yastahyi mina ashuyyuukhi.

Ce n'est pas une question d'argent. l'homme est un ancien cadre d'une entreprise publique d'état. Il doit avoir une belle retraite et un coffre fort ibrahimique dans sa chambre à coucher. et une bonne. les arabes disent qu'un homme qui a une bonne est un monarque. Mais cet homme m'a enseigné les rudiments de l'islam que je connais. La haine des idoles, les vertus de la prières; cet homme a aussi alimenté ma culture et mes rêves. Jeune je le considérai Wali allah. Je lui dois mon inisitation au soufisme et au mysticisme.
Bien sur, il a des défauts. Jeunes il était passionné de recherche de trésors, et entourés de Tolba et de Foqha. Certains de ses enfants sont devenus, un temps, millionnaires en dollar. aux yeux de ma famille, il était tantôt un fou, tantôt un magicien. Je me souviens qu'il passait ses nuits à lire le Coran à voix haute dans sa chambre. jusqu'à il y a quelques années.

Du jour où il m'a mis à la porte, à l'exigence de ses fils et de son frère semble-t-il, j'étais chez lui depuis plus d'un mois sans payer mon écot, ses enfants ont considéré que j'étais devenu à charge et les privait de leur morceau de pain quotidien, je le regarde avec plus de tendresse. La vieillesse est un effondrement. et on n'est trahi que par les siens.

Quand vous vieillissez, vous n'êtes plus qu'une vache à traire.

Pourtant abdul jabbar l'avait dit à ses fils: Je prie depuis plus de 70 ans, je ne vous ai toujours recomma,dé que cela, vous n'avez rien à me reprocher. et de fait. Ils n'ont pas grand chose à lui reprocher. Pour lui rendre les honneurs qui lui sont dus, ils devraient au minimum l'accompagner à la mosquée quand il va prier. Il y va tout seul, comme un saint.

Les hommes sont mesquins par définition. Je ne saurai faire le procés de la nature humaine.

Ce qui me frappe avec abduljabbar, c'est qu'il en est arrivé au point où ses enfants ne veulent même plus le conseiller. Comme s'il avaient parié d'envoyer leur père en enfer.

Ces derniers temps je le vois un peu fatigué. Et je m'étonne. Je me dis avec tant d'années de prière, plus hajj y compris à Jerusalem,, pourquoi lui manque -t-il cette lumière que l'ont voit sur le visage des musulmans qui pratiquent le Isha"a et le fajr à la mosquée. Parce que j'ai du respect pour les gens qui respectent au moins leur créateur, je pardonne les offenses et cherche des solutions.

Tout d'un coup un soir, je réalise qu'il a un tableau de maître à la maison. je suis un homme immensément cultivé, je comprends aussitôt. j'invite son fils au café et je lui dis:  ce tableau dans la maison de ton père il faut l'enlever. Il me dit que cela ne le concerne pas alors qu'il vit à ses crochets. Je lui dis, c'est ton père qui m'a enseigné ce hadith il y a des années. Quand il y a dans une maison un tableau représentant un vivant ou un chien, Gabriel n'entre pas. Ton père n'est musulman et protégé par sa foi que quand il sort de la maison. De retour chez lui il est sans défense et démuni.  je te le dis, parce que je ne veux te laisser aucune chance avec ton dieu. Celui d'Abraham et d'isaac et d'Ismael. Son fils est un ami, c'est ma manière à moi de respecter mon sens de l'amitié. Je sais que les gens disent tu ne pries pas pourquoi donnes tu ces conseils, je réponds que ces conseils sont ma prière même.

je n'aime pas la trahison. Ma mère est morte, je suis revenu vivre avec mon père. De droit d'heritage entre autres. Je ne supportte pas de voir que mon père ne prie pas ou de ne pas voir mon père prier, mais je me libère pas pour autant de mon obligation de conseil à son égard. Mon ami, le fils de Abduljabbar s'en est libéré. Je ne suis pas d'accord avec lui. Chacun à la communauté qu'il mérite. Cet ami et donc cousin maternel, m'a dit, un hadith, tu seras traité par ton fils comme tu as traité ton père. je lui dis Thakulatka ummuk comment veux tu que ton fils te traite, s'il voit que tu refuses le moindre conseil à ton père. 
Les hommes sont étranges. je croyais avoir affaire à des musulmans, à l'égard desquels je dois de la modestie, je découvre qu'ils sont hypocrites de jour et dorment chez eux la nuit. Je découvre aussi qu'ils se croient supérieurs à tout le monde, alors que pour l'homme cultivé que je suis ils ne sont que des incultes.  je le leur rends bien. Je m'impose à eux de droit, bi ashr a3, par par amour. 

Quand je rentre chez eux je leur dis je viens voir ma tante, et je ne mange même as en leur compagnie. C'est mon mépris que je manifeste ainsi. je ne mange pas avec le bétail ar dignité d'humain. 

Toujours est il que j'insiste. Ce cousin m'a donné des leçons de foi, j'appelle sa tariqa celle de la SINIYA et du Kass d'atay. elle est aussi pratiquée à el hajeb.  Donc je donne des conseils. Je ne fais même que cela. je jette des perles aux pourceaux, ce que Jesus a interdit, en disant M3diratan ilaa Rbbikum; comme disent les juifs. si votre Dieu n'aime pas les conseils, le mien les adore. Addiinou Nassiha. 

Mais cela me fait mal au coeur de voir cela. J'ai des tableaux et des sculptures dans ma maison achetés par feu ma mère,. c'est interdit par la religion. Mais, mon père n'a pas la prétention d'aller cinq fois par jour à la mosquée. Qlors je n'ai donc rien à lui reprocher. Tandis que Abduljabbar avec cela dans la maison est un hypocrite. C'est donc ce que j'ai dit à mon cousin. Ton père est en état d'hypocrisie de fait, pourquoi ne l'aides tu pas ? Il suffit d'enlever ce tableau pour que lui revienne sa baraka. 

Son fils ne veut pas. Peut être considére-t-il qu'avec 70 ans de prière et 50 ans de Fajr sont père est un Mécréant, un kafir. Personnellement j'ai du mal à le croire, par respect pour le prophéte. Je ne vois pas ce que son fils qui n'a même pas cinquante ans a pu offrir en Qorban au seigneur qui soit supérieur à cinquante ans de fajr. 

Mon bon prince. Toujours ne m'envoyez que les hypocrites. J'ai pour eux l'amour que porte le miel aux composition chimiques et le nectar à la médecine chinoise. 

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