Voici la troisième leçon du vendredi saint, jour des poissons.
Je salue donc les meilleurs de mes cavaliers Ouighour. May de noble lignée se sont les tiens. Je défie les bouriate. Althaye de noble lignée. Je libère pour toi les cavaliers de Cyrrus. Il n’est de terre lointaine où ils n’ont un petit cœur à sauver. Le trente sixième stratagème et le meilleur disent les chinois c’est la fuite, j’en appelle aux parthes. Du Mazandaran jaillissent les forêts, j’en appelle au Mède. May mes cavaliers sont tes élans. Je prends pour toi la sibérie. On m’a traité à Moscou comme un cochon. Tes hommes manquent de chevaux May. Je libère pour toi les cheveaux bardes des deux amériques. Paris n’est pas à l’abri d’une messe, May. Enfants de Chamil, libérez les cavaliers Tcherkesse. J’en appelle aux nobles des montagnes d’Albanie, ils me doivent un sourire et une larme. Cavaliers, la science n’est pas à l’abri d’une invasion. Princesse d’Altanie, les montagnes de l’Oural libèrent le passage à May de noble lignée. Cavaliers ouighour je vous mets en garde. Le traitre parmi vous sera pendu fut il un millier. Les cavaliers Ouighour May de noble lignée, ont choisi de n’être que deux fussent ils un millier. Cavaliers Turkmen, avancez la garde pretorienne. La Rome Grèce et antique connait ses provinces Althaye de noble lignée. Les Goth sont à vos pieds. Marchez sur Aix la Chapelle. L’empire n’a pas lieu d’être May de noble lignée. Les rois de cette contrée sont aussi des servants. Il n’y a de pire outrage que de les outrager. Les Francs sont chrétiens Altesse de noble lignée. Ils sont servants.la route de Compostelle est ouverte, Altesse de Noble Lignée. Ces cavaliers ne s’arrêttent qu’à Bethleem, dussent-ils pour cela subir les feux des fratricides. Les Tukmen sont servants May de noble lignée, nous venons d’Angletterre, méfiez vous fourmis de Althaye de noble lignée. La garde écossaise ne reconnait que ses maîtres May de noble lignée, Paris n’est pas à l’abri d’une messe. Et Londres est parfois rose et traitre. Cent ans de guerre pour celui qui mal y pense, les Ouighour sont arrivés les premiers May de haute lignée. La ville est à vous. Il n’est de pire ennemi de l’homme que lui-même, May de noble lignée, c’est pourquoi vous êtes arrivée à bon port. Le bateau de Noé, est vieux certes, mais il est porté sur terre et sur mer par de pieux coursiers.
Turkmen mes cavaliers.
Je salue donc les meilleurs de mes cavaliers Ouighour. May de noble lignée se sont les tiens. Je défie les bouriate. Althaye de noble lignée. Je libère pour toi les cavaliers de Cyrrus. Il n’est de terre lointaine où ils n’ont un petit cœur à sauver. Le trente sixième stratagème et le meilleur disent les chinois c’est la fuite, j’en appelle aux parthes. Du Mazandaran jaillissent les forêts, j’en appelle au Mède. May mes cavaliers sont tes élans. Je prends pour toi la sibérie. On m’a traité à Moscou comme un cochon. Tes hommes manquent de chevaux May. Je libère pour toi les cheveaux bardes des deux amériques. Paris n’est pas à l’abri d’une messe, May. Enfants de Chamil, libérez les cavaliers Tcherkesse. J’en appelle aux nobles des montagnes d’Albanie, ils me doivent un sourire et une larme. Cavaliers, la science n’est pas à l’abri d’une invasion. Princesse d’Altanie, les montagnes de l’Oural libèrent le passage à May de noble lignée. Cavaliers ouighour je vous mets en garde. Le traitre parmi vous sera pendu fut il un millier. Les cavaliers Ouighour May de noble lignée, ont choisi de n’être que deux fussent ils un millier. Cavaliers Turkmen, avancez la garde pretorienne. La Rome Grèce et antique connait ses provinces Althaye de noble lignée. Les Goth sont à vos pieds. Marchez sur Aix la Chapelle. L’empire n’a pas lieu d’être May de noble lignée. Les rois de cette contrée sont aussi des servants. Il n’y a de pire outrage que de les outrager. Les Francs sont chrétiens Altesse de noble lignée. Ils sont servants.la route de Compostelle est ouverte, Altesse de Noble Lignée. Ces cavaliers ne s’arrêttent qu’à Bethleem, dussent-ils pour cela subir les feux des fratricides. Les Tukmen sont servants May de noble lignée, nous venons d’Angletterre, méfiez vous fourmis de Althaye de noble lignée. La garde écossaise ne reconnait que ses maîtres May de noble lignée, Paris n’est pas à l’abri d’une messe. Et Londres est parfois rose et traitre. Cent ans de guerre pour celui qui mal y pense, les Ouighour sont arrivés les premiers May de haute lignée. La ville est à vous. Il n’est de pire ennemi de l’homme que lui-même, May de noble lignée, c’est pourquoi vous êtes arrivée à bon port. Le bateau de Noé, est vieux certes, mais il est porté sur terre et sur mer par de pieux coursiers.
Turkmen mes cavaliers.
Il pleut sur la ville comme il pleut sur mon cœur disait Verlaine,
Quelle est cette langueur qui pénètre mon cœur,
ô bruit doux de la pluie par terre et sur les toits,
Pour un cœur qui s’ennuie ô le chant
de la pluie
Mon vœu le plus cher mon petite May, n’est pas d’être un savant, je reste malgré
tout un homme modeste, mais un passeur de savoir comme le disait un ami
français. Je cueille une fleur ici pour la déposer là. Je suis bien entendu
payé pour ce travail et ce travail est un savoir en soi.
Du temps où je vivais en France, j’avais un ami mauritanien très cultivé
(que dieu le protège lui et ses enfants et sa femme qui est française). Il
était aussi doué en Français qu’en arabe. Il avait entamé une traduction du
Coran. En mon dernier souvenir il s’était arrêté sur la traduction du mot
« Mudhaamattaan » dans la sourate alrahman. Je l’aimais beaucoup et il était aussi un
très bon client de la librairie. Il m’avait d’ailleurs invité chez lui à
Marseille et je lui ai rendu visite peu de temps avant mon retour au Maroc. Il
s’appelait Cheikh.
Je plaisantais beaucoup avec lui
et notamment sur le risque qu’il y avait à publier une traduction du Coran en
mettant son nom sur la page de couverture. Je lui avais dit « fais
attention c’est un piège que te tend le petit shaytan des fourmis. Une
traduction du Coran est par définition par nécessité et par destination
nécessairement une interprétation-explication (Tafsir ou Sharh) du Coran ,
c’est donc une vision personnelle et limitée dans une seule langue. Dans ce cas
le français. Si en plus, les éditions Albin Michel te la publient en mettant
ton nom sur la couverture, alors cela devient
Le-Coran –de-Cheikh –en-Français.
Tu te retrouves l’auteur de cette version du texte en Français et
responsable de l’interprétation et la compréhension de tes lecteurs qui ont
payé pour lire ton travail garanti de bonne foi et vendu comme énoncé traduit
de la parole divine. Or il va de soi que
la pleine dimension d’un texte religieux et d’inspiration divine ne peut être
saisie ni par un seul traducteur ni dans une seule langue, ni à une seule
époque. Alors, pour plaisanter, je lui disais au moins s’ils publient ta
traduction, refuse que l’on mette ton nom sur la traduction et exige que l’on
publie le texte avec » anonyme » pour auteur. Au moins l’éternel ne
te reprochera pas d’avoir prétendu comprendre ce qu’il avait voulu dire. Tu
n’iras que dans le dernier étage de l’enfer et pas plus bas, ce qui est
déjà ça de gagné. » Laa
aamanu Makra Rabbi wa law Ihdaa qadamayya fil jannah Disait Omar Ibnou al
Khattab le deuxième calife du prophète.
Méfie-toi des ruses du destin même si tu as mis un pied dans le paradis.
Je ne sais pas ce que cet ami est devenu, mais j’ai beaucoup d’estime à son
égard.
Je n’ai donc pas l’intention de traduire le Coran. Mais est-il possible de
Coraniser l’apprentissage du français. Et cela c’est ma théorie à moi que
j’appelle la science d’une lettre ou en arabe si tu préferes « ilmou
‘harf ». Une pédagogie comme une autre. Ma petite May, Je vais donc te présenter cette théorie. «
Elle est très simple. N’essayez pas de la comprendre » comme aurait dit le
jeune Mollah Nasreddin ou Djoha ou Renard le Goupil à l'age de 48 ans.
La bonne connaissance d’une langue implique la bonne connaissance de ses
limites sémantico- logiques. Par
définition l’homme connait mieux les limites sémantico-logiques de sa langue
maternelle. La langue de départ. La langue d’arrivée étant la langue que l’on
cherche à apprendre. Dans ce cas le français.
Dans notre civilisation arabo-islamique la connaissance du texte
coranique est un préalable avant l’entrée à l’école en classe maternelle. Au
Maroc les enfants de quatre ou cinq ans vont au Msid, au Masjid, à la mosquée,
pour apprendre le texte coranique. Cet apprentissage peut durer jusqu’à l’âge
de 10 ou 11 ans. On appelle l’enseignant en dialecte arabo-maghrébin un fqih ou
un taleb ou un mollah. C’est parfois l’imam, qui se charge dans les petites
mosquées de village de ce travail.
De nos jours très peu d’enfant ont
la chance d’apprendre le texte coranique en entier (en ce qui me concerne par
exemple je ne connais par cœur que huit sourates plus ou moins). Il faut savoir
que cette pratique est généralisée dans tout le monde arabo-musulman. J’ai eu
par exemple un ami arabe chrétien d’orient qui connaissait le Coran presque par
cœur. Tout simplement parce que son père voulait que ses enfants connaissent le
Coran. J’ai rencontré le père de cet ami, je dois reconnaître qu’il avait beaucoup
de sagesse. C’est une simple question de bon sens. Avant d’aller en France
j’avais lu moi aussi un peu les évangiles, un peu l’ancien testament et ce
qu’on appelle les grands livres de la civilisation (Homére l’illiade et
l’Odyssée, la baghvat Gita de l’Inde, le livre du Dao de chine, l’Avesta des
Mazdéens, le livre des Morts égyptiens,
le Bardo thobol des Mayas, le livre des morts égyptiens, les contes
africains et des cinq continents,
Maymonide, Shaekspeare, Molière, Goethe, Cervantes, Dante, Dostoievsky,
et j'en passe, etc. ) Donc l’apprentissage du texte coranique est un
préalable en civilisation arabo-islamique. C’est le capital pédagogique initial
et suffisant. Même bien sûr si le jeune enfant ne connait par cœur qu’une seule
sourate, par exemple al fatiha.
Après l’apprentissage du texte coranique , on entre dans la phase de
l’apprentissage dit classique à l’école primaire : les Nombres
(géométrie et mathématiques, c’est d’ailleurs aussi le titre d’un chapitre dans
la thorah de Moîse (sal’am) ) ; l’histoire (dans l’ancien testament c’est
comme si l’on étudiait la Génése, l’exode, les Rois, les Chroniques etc), les
Lois (qu’il s’agisse des lois de l’univers physique et biologique, Génése par
ex, ou des lois sociales par exemple le Deutéronome); la morale, (éducation
civique et religieuse).
L’idée n’est pas de révolutionner l’enseignement ni la pédagogie. Mais
seulement de raccourcir le long chemin nécessaire pour qu’un élève ait une
maîtrise suffisante de la langue étrangère pour pouvoir s’en détacher et donc
la dominer. Dominer la langue d’une communauté disait le prophète
Muhammad (Sal’am) c’est juguler leurs égarements. (man ta’allama
lughata qawmin amina sharahum). Comment raccourcir ce chemin ? Pour
ceux qui veulent aller sur cette voie (je ne le conseille pas) je ne recommande pas la grammaire générative
transformationnelle de Chomsky (qui, comme le disait Borgés est un
développement réfléchi non pas sur la grammaire du sanskrit (celle de Panini)
mais sur l’auto-soumission du langage à lui-même ; soit ce que les grammairiens arabes appellent
l’auto-génération taslimique de Iqra’, premier verset connu du Coran). …Allahu
Ghaniyun ‘ani al ‘aalamiine… Et …Inna allah yahdii man yashaa…
A celui qui n’a pas voulu croire que la planète était ronde, le bien aimé a
répliqué « la terre est plate comme une orange » : Tous
les fruits boivent à la même source. …Tusqaa min maa’in waahid...
L’idée de base est exactement
celle là. On peut l’appeler si l’on veut,
La traduction phonématique ou problématique. CECI N’EST PAS UNE
TRADUCTION :
1.
Tous les fruits boivent de la même eau.
2.
…Tusqaa min maa’in waahid….
La raison essentielle et évidente pour laquelle l’énoncé 1 n’est pas la
traduction de l’énoncé 2, c’est d’abord que le premier énoncé est un énoncé en langue
française , sujet-verbe-complément et que le second énoncé est une
transcription phonétique en caractères latins de quelques mots extraits d’un
verset du texte coranique initialement inspiré en langue arabe. On ne perd
jamais rien à être précis.
La deuxième raison pour laquelle l’énoncé 1 n’est pas une traduction de
l’énoncé 2, c’est que l’idée exprimée
dans l’énoncé 2 est par exemple que TOUS LES FRUITS SONT ARROSES DE LA
MEME EAU (sachant que l’eau descend …Mina
al Muzni… , c’est en tout cas ce que j’ai cru comprendre) ; alors que
l’énoncé 1 en langue française affirme explicitement l’inverse : c'est-à-dire
que par exemple TOUS LES FRUITS BOIVENT DE LA MEME EAU. Il faut être un
actant pour agir et donc boire. Il faut être agi pour attendre d’être arrosé.
En soi il s’agit exactement de l’opération inverse ou intermédiaire.
Quelqu’un doit arroser si quelqu’un veut boire. En d’autre termes des
opérations contraires, inverses et intermédiaires, peuvent signifier la même
opération : quelqu’un a été arrosé ou a bu. Le fait que les hommes soit
Kafir ou Moumin, mécréants ou croyants implique au préalable un principe
fondamental c’est qu’ils sont des créatures créés, nous préférons dans ce cas
le mot servant au mot esclave. En arabe on dit …Abd….
Donc …Lan yanstankifu annabiyu an yakuuna abdan lillah... Et par exemple
…wa laa na’buduhum illaa liyoukkaribbuunaa illa llaahi zulfaa...
Le type de réflexion ou d’illusion (comme le disent les bouddhistes de la
compassion) auquel correspond l’énoncé de ce texte même peut être considéré comme un exercice de
style ou un exercice oratoire (Nahj al Balagha) et a sous d’autre formes été
menée par un auteur-écrivain d’Amérique latine aveugle (comme l’écrivain
égyptien Taha Hussein qui a étudié à la
Sorbonne et épousé une française) que j’aimais bien et qui s’appelait José
luis Borgés.
L’exercice proposé par Borges
dans son livre Fictions était le suivant : lire les Evangiles comme
s’ils avaient été écrits par l’écrivain espagnol Cervantès, l’auteur du Don
Quichotte qui se bat contre les moulins à vent. Et révolutionner de cette
manière la lecture des évangiles. Borges a proposé une autre piste de réflexion
intéressante par ailleurs dans son livre. Celle de considérer que Judas le
treizième apôtre n’avait pas trahi. Eventuellement de considérer que Judas
était le Christ lui-même.
D’un point de vue de théologien arabo-musulman, cette interprétation des
évangiles est tout à fait plausible. Si Jésus est Judas, alors on peut
considérer que c’est Judas qui est mort sur la croix et Jésus qui a été élevé.
…Wa ma qataluuh wa maa ssalabuh wa laakin shubiha lahum... ( …Wa
nuuminu bikulli alrussuli…). Et ceci évidemment n’est pas une explication
ni une interprétation du Coran, mais l’affirmation et le rappel que ce qui
importe avant tout pour un arabo-musulman
c’est de s’en tenir au capital initial de son savoir. Une certitude inspirée à son prophéte
Muhammad. Le fait pour un arabo-musulman de s’en tenir à ses certitudes lui
permet de comprendre l’exercice de style de Borgés et de ne pas voir ses
propres certitudes bouleversées par ce que nos amis africains du pays mandingue
en côte d’ivoire appellent une plaisanterie, au point d’en devenir athée.
Beaucoup de français considèrent Borgés comme un écrivain athée, ce n’est pas
mon cas.
Pourquoi ma petite May, ai-je dit qu’il valait mieux ne pas
suivre ce chemin ? parce que c’est celui de la philosophia. En grec
cela veut dire l’amour de la sagesse. L’amour de la sagesse n’est pas forcément
une sagesse. On peut aimer une femme sans pour autant l’épouser.
Je dois à Borgés d’avoir compris les latmiyate. Il explique en effet qu’un
savant arabe a découvert et voulu traduire Aristote. L’éléve de Platon lui-même
éléve de Socrate qui comme on sait non seulement n’a rien écrit mais a été
enfermé dans une prison et empoisonné.
Donc ce savant a traduit tout aristote, mais il s’est arrêtté devant la
traduction du mot THEATRE. Masrahiya. Il n’avait pas de références dans sa
culture arabo-musulmanne concernant la notion de théâtre. Les compagnons de
Mohammed n’ont pas construit de théâtre, et ils ne se sont pas fait payer pour
jouer de jeu de rôles. Comment donc traduire en arabe la notion de
théâtre ?
Certains savants parmi les compagnons du prophète ont dit : il n’est
pas nécessaire de traduire Aristote. Ces savants sont aussi contre la
traduction des israiliyate. On peut croire et admettre le contenu de tous les
livres même si l’on en a lu qu’un seul. D’autres savants parmi les compagnons
du prophète (nul ne sait s’ils sont les pires ou les meilleurs) on dit, on peut
les traduire, la preuve c’est que dans mille ans les iraniens vont pratiquer le théâtre pour se rappeler la
mort de Hussein Ibnou ‘Ali radiya allh
‘anhu.. …Inna yawman Inda Rabbika… alors les deux savants avaient
raison.
C’est là que tous les savants du prophéte se réjouissent et remercient le
prophéte pour son discernement. En effet, le prophéte a aussi dit : kadaba
al munajjimun wa law sadaquu. Que
le nom de abou hurayra soit béni : Les astrologues ont menti même quand
ils ont eu raison. Le discernement du prophéte allait même plus loin
que cela : nouminou bil alqadari khayrahu wa sharrahu. Nous croyons
au destin qu'il propose le pire ou le meilleur. Le discernement du
prophéte allait même plus loin que cela encore et au delà. Il a dit asdaku
al haditihi kalaamu allah. La vêrité sincère c’est ce que le Seigneur tout
puissant et miséricordieux dit et fait. C’est pourquoi nous prions pour que
Abou Hurayra entre au paradis. Sans quoi tous les savants de tous les prophètes
iront en enfer.
Que Adonaî Eloim prie et salue tous les prophétes.
Petite May voici la raison (il y en a certainement d’autres) pour laquelle
Abdou allah Ibnou zoubayr et Salman le Farsi sont des amis de cœur. C’est ce
que les amis de tous les prophètes appellent la Ukhuwa. La fraternité. Quand
les français disent Liberté égalité Fraternité : les compagnons de Jesus
disent nous savons ce qu’est la fraternité. Tout comme les compagnons de Moîse.
Tout comme les compagnons de tous les prophètes. La fraternité est un devoir.
Je salue en mes instituteurs et insttitutrices, en tes maitres et maîtresses qui t'ont appris et m’ont appris le français ou l’arabe ou n’importe
quelle autre langue : les COMPAGNONS DU DEVOIR.
Apprendre ou étudier ou connaître ou pratiquer la langue d’une communauté disait le prophéte Muhammad Ibnou abdallah abou al Qasim (Salla allah
alayhi wa sallam) c’est juguler leurs égarements, se prémunir de leurs
vices, se garder de leur mal intrinsèque, etc. ad libitum.
MAN TA’ALLAMA LUGHATA QAWMIN AMINA SHARAHUM
Nous n’avons étudié que ce hadith du prophète, petite Althaye, que la salat soit sur luit et
le salam. Mais peut être pourrions nous trouver ici les bases d’une réflexion
apte à renouveler la pensée pédagogique à l’orée du troisième millénaire. Et
peut être contribuer en France dans ton école comme dans la mienne, comme partout dans le monde du
reste, à une renaissance de la pensée philologique et pédagogique. La réflexion
sur l’éducation est un axe évident de la pédagogie de Iqra’ même s’il n’est pas
nécessairement le seul. Cela seul le Seigneur tout puissant et
miséricordieux et peut être s’il le veut
son prophéte et ses prophétes le savent.
...AAmana arrassuulu...
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